Introduction

Bienvenue dans ma première FAQ !!!

J’ai répondu sur Twitter à un questionnaire écrit pour les auteurs. Comme je le trouvais intéressant, que les tweets sont très fugasses et que les articles ont une longévité un peu plus élevée, j’ai décidé de vous le partager ici.

C’est un exercice que j’ai aimé faire et je le referai avec plaisir, si cela vous dit.

J’espère que ça vous plaira, vous permettra de mieux me connaître et vous donnera envie de mettre un like et un petit commentaire.

En avant pour les questions !

Je travaille actuellement sur :

– Le Coeur des CHEIM, premier tome du Grimoire, une saga de 9 tomes, 3 appendices et une suite. Tous les premiers jets sont déjà écrits et prêts à être retravaillés, sauf pour le Coeur des CHEIM qui est actuellement en bêta-lecture.

– Un amour de Rose, le 2e tome du Grimoire. Eh oui, je ne chome pas, j’ai bien l’intention de faire paraître un livre par an.

– Un roman qui n’a pas encore de titre. Dans la suite de ces questions, je l’appellerai « Sans Titre ». L’histoire commence en 1856 en Nouvelle-Calédonie. Nous suivons la vie d’un jeune canaque de 12 ans adopté par mon ancêtre Jean Creugnet.

Trois, sans compter ce que j’écris pour mon site, et les concours et appels à texte auxquels je participe.

J’ai arrêté de compter à 15 (rires)

Voici une couverture provisoire que j’ai créée en amatrice.

Je commence par écrire pêle-mêle ce qui me vient dans la tête dans un carnet, sur une feuille qui traine, sur un post-it, dans mon téléphone ou parfois même sur un ticket de caisse.

Ca peut être une scène, une idée ou un plan.

J’ai toujours raconté des histoires. Au début, c’était mon grand fère qui les écrivait pour moi. Et lorsque j’ai eu 5 ans, il m’a mis un clavier entre les mains et c’est ainsi que j’ai commencé à écrire mes histoires.

Ecrire, c’est lui, c’est moi, c’est ma passion, ce fut la sienne.

Je suis déjà auto-éditée sous un pseudo, et je compte bien recommencer avec mon vrai nom…Enfin presque.

Le Coeur des CHEIM paraîtra le 3 mars 2022 (Attention, annonce !)

Avant de commencer à écrire, je crée une playlist. Elle peut être composée d’une seule chanson, ça arrive. Ce sont les musiques qui m’inspirent pour ce que je suis en train d’écrire. Elles me permettent de me mettre dans le bon état d’esprit, d’y puiser les bonnes émotions.

Aujourd’hui, je ne vous partage pas de playlist, mais je le ferais un jour ou l’autre, c’est prévu.

Cette question est très difficile. C’est pourquoi, j’ai demandé son avis à ma première bêta lectrice : Ezylae. Voici ce qu’elle a répondu :

Autant vous dire que sa réponse m’a comblée. J’espère que c’est ce que vous ressentirez également. C’est ce que j’aspire à faire ressentir à mes lecteurs, alors si j’y arrive, j’ai réussi mon pari.

Mon point faible, ce sont les descriptions. Déjà, dans les livres, je n’aime pas les lire. Je trouve qu’elles nous font perdre du temps sur l’action. De plus, certains auteurs (oui, je pense à vous Hugo et Tolkien) décrivent des choses qui n’ont absolument rien à voir avec l’intrigue. Oui, le chapitre de Notre dame de Paris, Paris vu du ciel, est une prouesse. Oui. Mais ça fait pas avancer l’intrigue, et ça m’ennuie. Pour Tolkien, je n’ai toujours pas compris en quoi me parler du cousin du voisin de Bilbo était important.

Bref, j’aime pas en lire, donc je n’aime pas en écrire. Je préfère laisser la place à l’imagination du lecteur. Je décris tout de même les émotions, les sentiments, mais tout ceci sert le réçit.

Je me force, tout de même à en écrire pour m’améliorer. Mon inspiration, c’est Steinbeck, et plus précisément : Des souris et des hommes.

Lorsque je parle d’écriture sur Internet, je me sens à ma place, dans mon élément. Sur Internet, je peux dire que je suis auteure, partager avec d’autres auteurs et avec des lecteurs. Je peux être moi.

En revanche, dans le vrai monde de la vraie vie véritable (clin d’œil à Karim Debbache) , j’ai honte. Je minimise, je n’ose pas.

Ma fille, en revanche, est ma plus grande fan. Elle parle de moi et de ce que j’écris à tout le monde. Peut être lisez-vous ces lignes parce qu’elle vous a parlé de ce site.

Je vais les énoncer sans ordre d’importance, juste comme ils me viennent en tête.

J’aime la photo, la peinture, les promenades en pleine nature, l’informatique (après tout, c’est mon métier), la musique (en écouter, mais chanter aussi et danser), la lecture, bien sûr, mais aussi regarder des films, des séries. Et observer.

Tout ceci stimule mon imagination.

Le Coeur des CHEIM serait rouge comme la passion. 

Un amour de Rose serait bleu comme les yeux de Fleur.

Sans Titre serait vert comme la nature.

Je ne suis pas du tout envieuse des autres écrivains. Chacun a son style, sa place.

Mais si je dois choisir, je dirais Ella l’ensorcelée. Il a été mon roman préféré pendant des années, lorsque j’étais adolescente, et il garde une place tendre dans mon coeur.

Le Grimoire (ma saga en 12 volumes) est une histoire d’amitié qui dépasse le cadre de l’écriture. Ça parle des mes amies, de ma famille, de moi.

Sans Titre, c’est une commande de mon grand-père. Et je m’en voudrai toute ma vie si je ne l’écrivais pas avant sa mort.

Au courant, il y a tous mes réseaux sociaux, et les personnes avec qui ma fille parle.

A l’avoir lu, il n’y a que ma fille et mes bêta lecteurs.

Encore une question difficile. Je dirais que la catchphrase (phrase d’accroche) du Coeur des CHEIM serait : Elles sont quatre, mais elles devraient être cinq. Où est la dernière ?

Oui, beaucoup. J’aime savoir comment travaillent les autres. Je fais des tests avec leurs méthodes. Parfois j’en garde des morceaux, d’autre fois non. C’est important de ne pas rester figé. Et si ça se trouve on peut tomber sur « notre méthode magique ».

J’ai essayé toutes les méthodes toutes faites pour construire un plan. Ma préférée reste Save the cat. Mais force est constater que ça ne marche pas pour moi. Ça bride mon imagination. Je suis une jardinière. Je planifie les grandes lignes pour me diriger quelque part et ensuite, je laisse mes doigts écrire tous seuls.

Il me semble que c’était l’histoire d’une mouche qui volait le goûter et on accusait les chiens à tort. Puis, on la piégeait en mettant du sel sur nos tartines. Je ne l’ai plus malheureusement.

En revanche, j’ai toujours mon premier « roman ». Mettons-y plus de guillemets. Je pense qu’il fait moins de 30 pages. Il s’appelait La malédiction du livre d’Océane Love. C’était…mignon. Mais surtout c’était la première fois vraiment que l’écriture a été pour moi un exhutoire. Je me souviens encore de mon père qui me disait sévèrement « Tu as un message à me faire passer ? » Bien sûr que oui ! Mais comment aurais-je pû lui avouer à, à peine, 12 ans ?

Concernant l’histoire avec la mouche, non. C’est mignon, mais j’avais cinq ans.

Pour La malédiction du livre d’Océane Love, j’en ai bien eu l’idée, il y a quelque temps. Mais très franchement, il n’y a pas beaucoup de matière à en retirer.

D’un point de vue purement écriture, j’aimerais m’améliorer en descriptions.

D’un point de vue plus large, je souhaiterai avoir confiance en moi, apprendre à monter une campagne Ulule, à réaliser mes illustrations, à faire ma promotion.

Lorsque j’ai vu ma première critique (ci-dessous), j’étais en plein syndrome de l’imposteur, et elle permi de comprendre qu’il fallait que je continue, que je n’abandonne pas.

Avant tout, parce que c’est amusant. Puis, également pour que vous me connaissiez davantage. Et je sais que c’est le genre de contenu qui plait.

L’écriture, c’est ma passion. Lorsqu’on me demande « Pourquoi tu écris », je réponds que c’est comme me demander « Pourquoi tu respires ? »

Tout à fait. Comme je l’ai dit, je me suis déjà auto-éditée. J’ai utilisé la plateforme Lulu.

Très sincèrement, et c’est paradoxal : être lue.

Etre lue, c’est me livrer, nue, aux autres, à leur jugement, à leurs critiques.

A cinq ans, non, pas du tout ! (rires)

J’ai commencé à me renseigner sur le sujet lorsque j’avais 16-17 ans.

Tout à fait. Nous sommes une communauté. Nous nous épaulons, nous entraidons, nous renforçons.

Oui et non. Ecrire en soi est une activité solitaire, bien qu’on puisse écrire à quatre mains. Mais une fois la tache accomplie, il faut s’ouvrir aux autres, confronter nos idées au regard extérieur.

Je choisis ce que je vais écrire. Parfois je me prépare à boire (du thé), je m’installe, prépare ma playlist et feu !

Ça m’arrive, oui. Justement cette année, j’ai participé à un concours pour le Sci-fi club. Je saurais à la fin du mois d’août si j’ai la chance d’être publiée dans leur recueil de nouvelles et au week-end geek du mois de novembre si je suis l’une des trois vainqueurs. On croise les doigts.

Dans tous les cas, je vous tiendrai au courant. Et si je ne suis pas retenue, je partagerai mon texte avec vous.

Parler de choses qui n’ont rien à voir avec l’intrigue du livre. Comme, au hasard : la vie du cousin du voisin dont on ne reparlera plus jamais.

Sur Instagram, oui. Sur mon site aussi. Sur Twitter, je regarde de temps en temps combien j’ai d’abonnés. Mais sur Facebook, nada !

A chaque fois, j’essaie. Mais à chaque fois, la vie me rattrape. Il faut dire que j’ai trois enfants, une vie de couple et deux métiers, en dehors de l’écriture, alors il faut que je compose avec tout ça. Mais c’est pas bien grave, j’arrive à avancer sans ce rush.

Merci ❤️ J’ai toujours besoin de ce genre de messages.

J’ai zappé la 38, parce que je ne l’avais pas vue et au final elle est plus intéressante sur Twitter que sur mon site. Elle demande de lier des écrivains sur Twitter.

J’ai des tas de carnets, cahiers et feuilles volantes. J’y note des idées en vrac, des plans, des scènes lorsqu’elles me viennent et ne peuvent pas attendre et mes statistiques d’écritures (nombre de mots, de pages, etc.)

La 40 aussi a été zappée parce qu’elle demande de citer des personnes qu’on aimerait voir répondre au thread. Donc, elle a peu d’intérêt sur ce site.

Mon carnet préféré est rouge, A5, couverture en cuir et il sent bon ❤️ Il m’a été offert par Michel. Merci Michel ❤️

 Pour trouver les prénoms de mes personnages, j’ai plusieurs méthodes :

• Certains sont les prénoms de mes proches.
• Pour d’autres, je transforme le prénom d’un proche.
• J’utilise aussi des générateurs parfois pour me donner l’inspiration.
• Et sinon, ce sont des prénoms que j’aime bien.

C’est exactement pareil pour moi.

Sauf si c’est Marivaux, mais j’en doute très sincèrement 😂

Le premier mot du Coeur des CHEIM est « Elles ».

Celui de Sans Titre est « Dans ».

Le dernier mot du Coeur des CHEIM est « Vie ».

Celui de Sans Titre est « dévoiler ».

Les comparaisons avec d’autres auteurs. Oui, j’ai des inspirations, comme tout le monde. J’aime faire des clins d’oeil délibérés dans mes textes. Mais je n’aime pas qu’on me compare. Je me sentirai toujours inférieure à la personne avec qui on me compare.

J’espère que cette première FAQ vous a plue. Si c’est le cas, n’hésitez pas à mettre en j’aime, un commentaire et pourquoi pas à poser vos questions dans les commentaires pour que j’en fasse une deuxième plus tard.